Le mirliton

Il s’agit d’une version particulière de la célèbre scottish « l’aiga de ròcha », enregistrée auprès de Jean Bournier par José Dubreuil et Sylvie Berger à la fin des années 1980 à Combois, près d’Olliergues. https://amta.fr/wp-content/uploads/2012/05/MS014-laige-de-rocha.mp3 Jean Bournier est un orchestre à lui tout seul : il accompagne à la grosse caisse (couramment appelée « jâze ») ce morceau joué à l’accordéon et chanté simultanément dans un mirliton populaire (espèce de « kazoo » fabriqué par ses soins dans un tube en bois creux auquel est adjoint une feuille de cigarette dont la vibration sous l’effet de la voix produit ce son particulier). Il s’agit du …

Trois moustaches (suite… et fin)

Trois inconnus arborant moustaches furent pris par l’œil d’un professionnel de la photographie pour preuve le dos des ces trois épreuves. L’on peut d’ailleurs en profiter pour établir quelques remarques d’importance dans le cadre de leur profession. L’un arbore ses médailles dans les sous les …et parle de grande photographie moderne où il précise qu’il possède un salon de pose. Il indique également qu’il conserve les clichés de ses clients et qu’il peut réaliser des agrandissements et des reproductions ainsi qu’une chose qui a aujourd’hui disparu des pratiques des photographies et familiales des portraits d’après …Le second, … à Paris, …

Teisson, du blues en polka!

Cette polka piquée est chantée et jouée à l’accordéon par Gaston Pic, et a été enregistrée par José Dubreuil le 22 mars 1992 à l’auberge du Bufadou à Saugues. https://amta.fr/wp-content/uploads/2012/05/MS013-teisson.mp3 Le chant est interprété avec force et beaucoup de cadence. Le timbre de sa voix n’est pas sans faire penser aux chanteurs de rythm’ and blues des années 1970. Cela apporte beaucoup au morceau et permet au chanteur de s’installer sur un rythme lent, lui garantissant un balancement (un « swing » si l’on veut) prononcé. La variété rythmique tient à la souplesse des motifs musicaux : Mr Pic présente quatre façon …

Mazurka

Cette mazurka sans titre est jouée par Alfred Rochon, enregistré  par Eric Cousteix dans les années 1980 à Aulnat, commune de Bagnols dans le canton de La Tour d’Auvergne. https://amta.fr/wp-content/uploads/2012/04/MS012-Mazurka-à-Rochon.mp3 Joué avec beaucoup de cadence, ce morceau recèle quelques particularités intéressantes, à la fois typiques du jeu de violon en Artense, mais aussi représentatives de la façon de penser la musique dans le Massif Central. Alfred Rochon se repère d’un point de vue dynamique aux quelques appuis ponctuant le morceau (notes soulignées _ ). Ce sont ces notes-là que le musicien vise, parfois soumises à la technique des doubles cordes …

Trois moustaches (suite…)

Trois inconnus arborant moustaches furent pris par l’œil d’un professionnel de la photographie pour preuve le dos des ces trois épreuves. L’on peut d’ailleurs en profiter pour établir quelques remarques d’importance dans le cadre de leur profession. L’un arbore ses médailles dans les sous les …et parle de grande photographie moderne où il précise qu’il possède un salon de pose. Il indique également qu’il conserve les clichés de ses clients et qu’il peut réaliser des agrandissements et des reproductions ainsi qu’une chose qui a aujourd’hui disparu des pratiques des photographies et familiales des portraits d’après …Le second, ….à Paris, ne …

Les noces tragiques

C’est le titre que donne Jean Dumas à la chanson qu’il enregistre le 28 septembre 1958 auprès de Virginie Granouillet, dite « La Baracande », dentellière et chanteuse à Mans, commune de Roche-en-Régnier dans la Haute-Loire. https://amta.fr/wp-content/uploads/2012/04/MS011-les-noces-tragiques1.mp3 Cette chanson est très répandue dans la tradition orale francophone, parfois sous le titre usuel « les tristes noces », et a été notée ou enregistrée à de nombreuses reprises. La version que chante Virginie Granouillet se retrouve quasiment à l’identique, tant sur le plan mélodique qu’au niveau du texte, dans la bouche d’autres chanteurs du même territoire. La Baracande impose sa signature dans son interprétation, en …

La bourrée du père de Joseph Perrier

Cette bourrée est jouée au violon par Joseph Perrier, enregistré chez lui à Pérol par Eric Cousteix au début des années 1980. https://amta.fr/wp-content/uploads/2012/04/MS010-Bourrée-du-père-à-Perrier.mp3 Joseph Perrier tient cette bourrée de son père, lui aussi violoneux. La mélodie, très tonique et à la fois très souple, soutient la danse tout en donnant l’impression que l’on va décoller. Cette façon particulière de penser la musique, très ancrée sur le territoire de l’Artense, a deux incidences : le rythme est très découpé (comme le suggère la présence des doubles croches dans la partition) mais les notes sont très liées du fait des mouvements conjoints …

Trois moustaches…

Trois inconnus arborant moustaches furent pris par l’œil d’un professionnel de la photographie pour preuve le dos des ces trois épreuves. L’on peut d’ailleurs en profiter pour établir quelques remarques d’importance dans le cadre de leur profession. L’un arbore ses médailles dans les sous les …et parle de grande photographie moderne où il précise qu’il possède un salon de pose. Il indique également qu’il conserve les clichés de ses clients et qu’il peut réaliser des agrandissements et des reproductions ainsi qu’une chose qui a aujourd’hui disparu des pratiques des photographies et familiales des portraits d’après …Le second, …. à Paris, …

La belle se promène

Cette chanson est interpétée par Marguerite Tissier qui a été enregistrée par André Ricros au début des années 1980 à Bredons dans le cantal. https://amta.fr/wp-content/uploads/2012/04/MS009-Charmant-Matelot.mp3 Marguerite Tissier avait un petit carnet de chansons qui renfermait son répertoire que l’on reconnaît à sa couleur teintée de tristesse et de mélancolie. Cette chanson fort répandue sur le territoire francophone et bien connue des passionnés est chantée ici comme si c’était la première fois. La simplicité du rythme et de la ligne mélodique laisse à cette belle chanteuse l’espace nécessaire à toute son expressivité. Cette « belle » qui pleure semble être la chanteuse elle-même, …