Fête de la Musique à Clermont – SCÈNE TRAD !

L’AMTA et La Coopérative de Mai remettent le couvert pour la troisième année ! Place Gambetta, dite des Salins, vous trouverez outre une buvette, un parquet de danse et de quoi manger : – QUAUS DE LANLA Ces trois-là dédient corps et âmes au répertoire de chant à danser d’Auvergne (en occitan, en français, en « tralala » ou en beatbox) qu’ils renouvèlent avec une générosité et une liberté salvatrices. – ARQUEBUSE On retrouve dans la recette d’Arquebuse les épices des musiques des monts d’Auvergne comme la puissance de celles des grandes plaines du Centre France, les mélismes méridionaux des sauvages violons …

Di Mach sort son disque !

C’est derrière un nom étrange, dont la prononciation fait débat, que se cache un trio de musiciens passionnés par les musiques de tradition orale du Velay. « Di Mac » disent certains, « Di Match » disent d’autres, et d’aucuns, comme moi, préfèrent le prononcer « comme ça s’écrit », dans le doute quand on ne sait pas… En vérité, ce nom qui n’évoque pas grand chose pour le commun des mortels évoque beaucoup pour les musiciens du groupe : Il s’agit du surnom -et chacun sait combien les surnoms surpassent, supplantent les noms dans les campagnes-  qu’a porté toute sa vie Auguste Marie, le grand-père …

Les musiques trad à l’Orchestre d’Auvergne !

Le samedi 10 Juin, à l’Opéra-Théâtre de Clermont-Ferrand, l’Amta et l’Orchestre d’Auvergne vous proposent une soirée inédite où dialogueront musique contemporaine et musique traditionnelle.

Créé en 1981, l’Orchestre d’Auvergne est un ensemble de 21 musiciens, qui assure à la fois une mission de proximité et de rayonnement international. Cet orchestre citoyen mène depuis sa création des actions de sensibilisation auprès des publics et joue  un rôle majeur dans la vie culturelle de sa région, tout en étant un brillant ambassadeur national et international. Le répertoire de l’Orchestre d’Auvergne s’étend de la musique baroque jusqu’à nos jours, avec un investissement important dans la création contemporaine.

C’est ainsi qu’en 2004, avec la complicité d’André Ricros, le compositeur Alain Savouret écrit une pièce intitulée « Artense« , inspirée des mélodies et des timbres des musiques de ce plateau entre Cantal, Corrèze et Puy-de-Dôme, pour un violon dit traditionnel et un orchestre à cordes. A l’époque, c’est donc l’Orchestre d’Auvergne, sous la direction de Arie van Beek, qui accompagne un soliste choisi par l’Amta : François Breugnot.

13 ans plus tard, l’Amta renoue un partenariat avec l’Orchestre et avec son nouveau directeur, Roberto Forés Veses. L’idée de commander une nouvelle pièce inspirée des musiques de cabrette à un compositeur contemporain a émergé à l’occasion de l’imminente sortie d’un livre d’André Ricros sur la genèse et l’histoire de la cabrette : cette cornemuse et la musique qui y est liée, incarnent l’histoire de la Haute-Auvergne, ses rapports avec Paris et la culture de ses habitants. C’est à Thierry Pécou qu’est faite la commande, et à Jacques Puech qu’on confie le rôle de soliste.

Roberto Fores Veses dirige l’Orchestre d’Auvergne

Pour compléter la soirée durant laquelle la pièce de Thierry Pécou « Auvernha, concerto pour cabrette et orchestre à cordes » sera jouée pour la première fois, l’Orchestre présentera « Artense » avec Clémence Cognet comme soliste, et le groupe Komred proposera des intermèdes faits de musique traditionnelle vivante, de celle que l’on entend et danse en bal aujourd’hui…

Pour ne pas rater cette soirée unique, et mémorable, réservez vos places sur la billetterie en ligne de l’Orchestre d’Auvergne :http://www.forumsirius.fr/orion/_spectacle.phtml?inst=03012&lg=FR&kld=1&tCache=1493820399528&idv=d524a1&spec=26

 

Expo et conférences aux Archives de Riom

Retour en images d’André Hébrard et d’Evelyne sur la conférence de JF « Maxou » Heintzen à propos de Marguerite Gauthier-Villars installée aux archives de Riom jusqu’au 28 Avril ! On y voit aussi les élèves de l’Ecole de Musique de Riom qui chantent les Noëls débusqués dans le fonds Chaduc de Riom. Ne ratez pas la conférence d’Eric Desgrugillers et Francine Mallot sur le fonds Chaduc, MERCREDI – 17H – Archives municipales.  

Marguerite Gauthier-Villars, l’histoire d’un héritage musical en Bourbonnais

Jean-François « Maxou » Heintzen (historien et musicien) et Frédéric Paris (président de la Chavannée et musicien) nous invitent au siège de la Société d’Emulation du Bourbonnais, pour nous raconter l’histoire du fonds Gauthier-Villars, qui fait l’objet d’une exposition installée à Riom, aux archives municipales, du 07 au 28 Avril 2017.

 

Gilbert Rocherieux nous a quittés

Il est des musiciens qui marquent l’histoire de leurs territoires. Gilbert Rocherieux était l’un d’eux : ancien cadre Michelin, il jouait de l’accordéon diatonique, de la cornemuse béchonnet et du violon. Ses passions pour la langue vernaculaire et les cultures de pays l’avaient emmené, en 1976, à intégrer l’atelier de musique de l’Institut d’Etudes Occitanes du Puy-de-Dôme. Dans cet atelier, il fait la rencontre de Philippe Marmy, Claude Bonhomme et Bernard Roche, rencontre qui donne naissance, en 1982 à l’association Cherchapaïs. « Faire vivre la culture occitane d’Auvergne, en tant que richesse humaine pour aujourd’hui et pour demain, en particulier dans …

L’Amta en milieu scolaire

Jacques Puech est chargé du collectage à l’AMTA, et Magali Champion s’occupe du fonds iconographique; mais leurs compétences ne s’arrêtent pas là. Jacques est titulaire du Diplôme d’Etat de professeur de musique traditionnelle et a enseigné plusieurs années à l’Ecole de Musique des Brayauds-CdMDT63 et à l’occasion de Temps d’Activités Périscolaires. Quant à Magali, elle a exercé son métier d’institutrice durant de nombreuses années avant de rejoindre l’Amta à temps partiel. Ces deux membres de l’équipe sont de véritables atouts pour l’Amta, qui propose chaque année des actions en milieu scolaire, afin de sensibiliser les plus jeunes au Patrimoine Culturel Immatériel de …

« Bleu Caporal » de Manu Paris

Bleu Caporal est un ouvrage où règne la justesse d’une vision du monde qui m’a plongé au cœur du pays de l’auteur; et cette justesse a fait couler en moi une parole, voir un langage, que je suis persuadé d’avoir compris, sans l’avoir préalablement appris. Tout ici est taillé au plus près, jusqu’à l’os, pour plonger le lecteur dans le sentiment paradoxal d’avoir une vision globale de tous ces paysages. Taillé à la main, sans rien laisser d’inutile, de futile, tout est là, fait d’un seul geste, sûr et solide, comme l’on marche sur l’eau, vite, pour ne pas se …