Ces partitions sont les transcriptions de certains extraits sonores disponibles en ligne sur le site « Patrimoine Oral du Massif Central »
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Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, et d’une plus grande liberté d’interprétation, les ornements et les doubles cordes n’ont pas été notés (se référer à l’extrait sonore correspondant). La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. La tonalité d’origine a été gardée. Notons que Jean Ladevie joue sur les deux cordes aigues (la et mi).
Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, il a été noté croche pointée – double croche ce qui, dans la réalité de l’extrait sonore, se rapproche plus du triolet. Cependant, la notation proposée semble plus fidèle à l’esprit sautillé et dansant du morceau. La notation rythmique proposée est une tendance et non une vérité mathématique. La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. En effet, seule la mélodie a été notée, et non les basses. L’accompagnement est sujet à de nombreuses variations (se référer à l’extrait sonore correspondant) et le choix harmonique est laissé au lecteur. Afin de pouvoir être adaptée sur le plus grand nombre d’instrument, la tonalité a été notée en do.
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. En effet, seule la mélodie a été notée, et non les basses. L’accompagnement joue ici le rôle de bourdon rythmique (se référer à l’extrait sonore correspondant) et le choix harmonique est laissé au lecteur. La tonalité respecte celle de l’extrait sonore.
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, et d’une plus grande liberté d’interprétation, les ornements et les doubles cordes n’ont pas été notés (se référer à l’extrait sonore correspondant). Le phrasé d’André Gatignol se caractérise par des notes allongées et l’utilisation des doubles cordes ; le deuxième temps de chaque mesure est systématiquement appuyé et allongé, mais d’autres appuis peuvent apparaître. La tonalité d’origine a été gardée.
Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, et d’une plus grande liberté d’interprétation, tous les ornements n’ont pas été notés (se référer à l’extrait sonore correspondant). Seul celui de la deuxième mesure – du fait de sa régularité – a été noté. La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. La tonalité d’origine a été gardée.
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Cette partition-type propose donc une compilation des variations mélodiques et rythmiques, libre au joueur d’en introduire d’autres dans le même esprit. Le rythme de marche a imposé le choix de la mesure à deux temps. La présence d’une mesure à trois temps au milieu de la deuxième partie montre que Marcel Teilhot pensait son morceau à un temps et non à deux. Les fins de phrases peuvent donc être à loisir allongées ou raccourcies d’un temps selon la volonté de l’interprète. Seule la mélodie a été notée, et non les basses. L’accompagnement joue ici le rôle de bourdon rythmique (se référer à l’extrait sonore correspondant) et le choix harmonique est laissé au lecteur. La partition a été notée en sol afin de se rapprocher de la tonalité de l’extrait sonore et d’être jouable sur des instruments diatoniques.
L’ambiguité rythmique de la découpe du temps chez Marguerite Tissier fait constamment alterner croches et triolets. Il était donc plus simple de noter cette partition en 2/4 mais si certaines oreilles auraient préférer le 6/8. Les variations mélodiques sont dues aux contraintes du texte chanté et n’apparaissent pas ici. Il s’agit d’une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. La présence des points d’orgue montre que le chant, tout en étant cadencé, est relativement libre concernant la mesure, des arrêts, des notes tenues, des ralentissements, etc… pouvant apparaître.
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Le passage au tralala a été noté afin de montrer une possibilité de variation de ce thème de bourrée. Le chanteur interprète son air dans une tonalité proche de La majeur ; la partition a été ramenée en Do afin de pouvoir être jouée par des instruments diatoniques.
La partition présentée ici est une partition-type une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. En effet chaque couplet présente des variations mélodiques qui sont dues à l’adaptation aux paroles. La mélodie a été notée sans indication de mesure afin d’être fidèle à la liberté de phrasé de la chanteuse. Les notes tenues et appuyées ont été suggérées par des blanches, les autres notes par des noires, dont les valeurs ne sont plus relatives, leur durée dépendant plus du débit du texte.
La partition présentée ici est une partition-type. Celle-ci donne une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, et d’une plus grande liberté d’interprétation, les ornements n’ont pas été notés (se référer à l’extrait sonore correspondant) et sont laissés à la liberté de l’interprète.
La partition présentée ici est une partition-type une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. En effet certains couplets présentent des variations mélodiques qui sont dues à l’adaptation aux paroles. De plus, la mélodie présente a été établie à partir du second couplet, le premier n’étant pas stabilisé du point de vue de l’échelle, le chanteur cherchant ses marques (se référer à l’extrait sonore correspondant).
Les deux parties sont mélodiquement identiques, malgré les quelques variations dues à l’adaptation aux paroles et à l’effet de conclusion voulu à la fin du morceau.
La partition présentée ici est une partition-type une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Seule la mélodie a été notée, et non les basses. L’accompagnement joue ici le rôle de bourdon rythmique (se référer à l’extrait sonore correspondant) et le choix harmonique est laissé au lecteur. Cependant, certains effets de relances (mesure 2) ainsi que des particularités d’interprétation personnelle tout à fait intéressants (passage aux mesures à trois temps) ont été indiqués. La partition a été notée en Do afin d’être jouable sur des instruments diatoniques.
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, et d’une plus grande liberté d’interprétation, les doubles cordes n’ont pas été notées (se référer à l’extrait sonore correspondant), et la tonalité a été choisie de manière à correspondre à une exécution aisée sur le plus grand nombre d’instrument, et à ne pas surcharger la partition avec des altérations. Cependant, les effets de styles qui nous paraissent important ont été indiqués (notes allongées ou piquées, trilles…).
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Dans le souci d’une plus grande facilité de lecture, et d’une plus grande liberté d’interprétation, les ornements n’ont pas été notés (se référer à l’extrait sonore correspondant). Les appuis importants ont été indiqués par des tirets (notes allongées). La tonalité d’origine (ré) a été conservée. Notons que le choix du do bécarre a été fait pour simplifier la lecture, mais il s’agit d’une tendance, le do n’étant ni tout à fait bécarre, ni tout à fait dièse, mais mobile, quelque part entre les deux.
Il s’agit d’une partition extraite de « Notions d’interprétation dans le chant traditionnel en Haute-Auvergne ». Il s’agit d’une notation descriptive faisant apparaître chaque variation de chaque couplet. Les paroles en occitan sont indiquées à la suite.
- Part 0017 – Ai vist lo lop
Certains ornements faisant état d’un traitement rythmique original de cet air très connu ont été notés. Le joueur d’accordéon présente plus de variations que n’en montre cette partition. Le choix d’établir une partition-type permet de faire état de l’esprit dans lequel le morceau est interprété. Il ne s’agit en aucun cas d’une transcription fidèle et exhaustive. Les basses n’ont pas été transcrites, elles ne jouent qu’un rôle rythmique et de bourdon et sont soumises à la liberté de l’interprète.
Il a été choisi de noter la première tourne de cette bourrée, car c’est à ce moment que Joseph Perrier effectue le plus de variations en particulier sur la première partie. Les ornements les plus caractéristiques ont été indiqués, afin de donner une idée des possibilités de jeu.
Il a été choisi de noter une version type, inspirée au plus près du jeu caractéristique de J. Perrier, afin de donner une idée de ses possibilités de variations.
Il s’agit d’une partition indicative, fondée sur les variations de J. Perrier sur ce morceau. Afin de faciliter la lecture, le si a été noté soit bécarre, soit bémol, mais il se situe bien évidemment entre les deux, les altérations ne représentant qu’une tendance.
La partition présentée ici est une partition-type donnant une idée des possibilités de jeu proposées par l’interprète, mais il ne s’agit en aucun cas d’une partition fidèle et exacte, qui figerait ce qui ne doit pas l’être. Cette partition-type propose donc une compilation des variations mélodiques et rythmiques, libre au joueur d’en introduire d’autres dans le même esprit. Seule la mélodie a été notée, et non les basses. L’accompagnement joue ici le rôle de bourdon rythmique (se référer à l’extrait sonore correspondant) et le choix harmonique est laissé au lecteur.
Les valeurs des notes ont été conservées car le chanteur garde une cadence assez claire tout le long du morceau, mais la mesure n’a pas été notée, cela aurait considérablement alourdi la partition. C’est un trait assez fréquent dans le chant d’avoir une mesure libre et une cadence. Le point d’orgue indique que la note est allongée à souhait et que la cadence est rompue.
La partition a été volontairement simplifiée afin d’être très aisément déchiffrable. L’harmonica est un instrument qui permet l’ornementation et l’harmonisation sans avoir besoin de les noter. L’interprétation est ainsi laissée libre au joueur.
Les trois premières mesures sont inversées avec les trois suivantes dans le deuxième couplet. Cela est dû aux contraintes du texte (place des rimes féminines) et n’a pas été indiqué pour ne pas alourdir la partition. Mais l’extrait sonore correspondant, ainsi que l’adaptation naturelle de la mélodie aux paroles, permettent de retrouver facilement ces variations. Les notes tenues sont des appuis de façon systématique et sont allongées au maximum.
La partition a été volontairement simplifiée afin d’être très aisément déchiffrable. L’harmonica est un instrument qui permet l’ornementation et l’harmonisation sans avoir besoin de les noter. L’interprétation est ainsi laissée libre au joueur. Cette mélodie très connue présente ici des petites variations intéressantes, nous donnant l’autorisation d’opérer des changements mélodiques et rythmiques.
Les phrases musicales découpées de façon évidente ont été isolée chacune entre des barres de mesure. Mais le rythme reste libre, sans cadence, avec toutefois de la dynamique : nous avons indiqué les enchaînements par des liaisons et les notes tenues par des blanches. Le choix du phrasé est laissé libre aux chanteurs.
Pour simplifier, nous avons noté en croche pointée double croche ce qui doit plutôt être joué en ternaire (noire, croche). Ont également été indiqués des éléments de style important (doubles cordes, trilles, ornements) ainsi que des éléments de phrasé donnant tout son caractère au morceau (note écourtée, allongée, morte). La présence du bémol ne montre qu’une tendance (le si se baisse juste un peu).
La partition se base sur les deux premières tournes de cette bourrée car c’est à ce moment que Joseph Perrier effectue le plus de variations en particulier sur la première partie. J.Perrier ne reprend ensuite que la version développée. Mais cela nous permet d’indiquer les libertés et la façon dont le joueur s’y prend pour agrémenter et personnaliser son morceau.
Entre les deux parties, la chanteuse reprend sa respiration et casse la cadence. Cette dernière a quand même été conservée.
La partition fait état de la version avec les paroles et de la version au tralala. Il est intéressant de constater que dans la version au tralala, seules les relances ont été modifiées, de manière à conserver, développer et amplifier le rythme mis en place par les paroles.
Pourriez-vous svp, me faire voir des partitions pour accordéon diatonique enn sol do!
Merci
Michel
Ces partitions ont un but informatif et documentaire, et peuvent être lues sur tous les instruments, ainsi qu’à la voix. Il nous est par conséquent difficile de les spécialiser en y incluant des tablatures et des arrangements harmoniques. Cela voudrait dire de proposer des tablatures pour tous les instruments usuels, et d’autre part, les arrangements harmoniques (accords) jouables sur tel instrument ne sonnent pas sur tel autre. La plupart du temps, les anciens joueurs se servaient de la main gauche comme bourdon rythmique, et nous ne prendrons pas le risque de modifier le climat de la mélodie en accolant des accords tout prêts, alors que le propre de ces musiques est la liberté d’interprétation et d’arrangement. C’est cela qui explique la sobriété de ces partitions.
En revanche, nous vous encourageons vivement à apporter votre pierre à l’édifice en inventant vos propres accompagnements à ces morceaux.
S’il s’agit uniquement de la transposition de la mélodie sans tablature ni arrangement, indiquez-moi les partitions qui vous intéressent, afin que je vous fasse éventuellement parvenir des versions en do. Notez que la plupart de ces partitions sont notées en sol et donc sont jouables tel quel sur l’accordéon diatonique.
Musicalement!
Eric Desgrugillers
Bonjour, je cherche la partition d’une bourrée : la guimbarde
Pouvez vous me la transmettre ? ou la publier ?
Merci d’avance MP
Bonjour,
J’ai la partition de « La guimbarde », danse du Limousin, ainsi que la fiche de danse.
Cordialement,
Maurice, vielleux du groupe de musiciens bénévoles « Tourne Vents ».
Je trouve votre réponse aujourd’hui seulement. Excusez la lenteur de réaction !
Si vous avez cette partition de la Guimbarde, elle m’intéresse, pouvez vous me la communiquer ?
Dites moi quel moyen vous convient, merci d’avance
Cordialement
MP
Disponible sur Facebook « Tourne Vents »
merci de ces partitions et de ces extraits sonores qui me rappelle la grand mère , la « catherine » de Prégnoux (CHASTREIX 63) qui chantait et dansait sur ces airs , et Alexandre BAPT le violoneux.
Merci de nous donner ainsi le moyen de perpétuer leur souvenir en apprenant à notre tour ces airs.
bonjour a tous
je recherche la partition a l’accordeon la marche appelée la sautillante
pourriez vous me la faire parvenir
meilleurs salutations
martine
la première phrase du morceau « Toute la semaine » ressemble étrangement à celle de la figure dite ‘Les lanciers’ dans le « Quadrille des lanciers ». La croche pointée double croche est remplacée par deux doubles croches.
Qui pourrait me communiquer les paroles et la musique de cette bourrée appelée, je crois : « Je m’en va(i)s chantant, riant » ? Merci d’avance.
Bonjour,
je vous donne une réponse bien tardive! cependant je dois pouvoir vous aider, vous pouvez contacter La Chavannée : cette chanson à danser fait partie de leur répertoire.
voilà leur contact :
http://lachavannee.com/
Téléphone : (033)-(0)4.70.66.43.82
E-mail :frederic.paris@lachavannee.com
en vous souhaitant une bonne recherche!
Eric Desgrugillers
bonjour je cherche la partition de la guimbarde mais ne l’a trouve pas ? as t’elle un autre nom?
merci