Des bourrées de Brandely

Un des aspects les plus surprenants des musiques traditionnelles du massif central est de se mouvoir à la façon d’une anguille : on croit tenir quelque chose, et puis non, ça vous glisse entre les doigts. C’est un peu l’effet que fait l’écoute du violoneux Jean-Marie Brandely, que vous avez déjà découvert à travers quelques scottishes, l’été dernier. Sa façon particulière de jouer les bourrées nous a interpellé, car elle ressemble au premier abord et en apparence assez peu de ce que l’on connaît des violoneux de l’Artense et des monts de l’ouest du Puy-de-Dôme : Il s’agit du « tant …