(Ré)écoutez l’émission du Dimanche 29 décembre 2013
Le dernier dimanche de l’année en compagnie de Du Bartas présenté par Thierry Bousseau de l’agence Sirventes
Le dernier dimanche de l’année en compagnie de Du Bartas présenté par Thierry Bousseau de l’agence Sirventes
C’est Noël (ou presque) !
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Pour Noël, n’hésitez pas à vous procurer « Bouscatel, le roman d’un cabretaïre » pour l’offrir… ou vous l’offrir ! Histoire de plonger dans l’aventure méconnue des musiciens de bal-musette auvergnats à Paris. Livre de 450 pages avec 300 photos documents d’archives ainsi qu’un CD. Format 21x23cm couverture cartonnée, cet ouvrage est construit en deux parties : LE ROMAN D’UN CABRETAIRE (200 pages) et VIE DES CABRETAIRES D’AUVERGNE, CREATEURS DES BALS-MUSETTE DE PARIS, 250 pages de sources, d’analyses, de témoignages et de portraits. Annexes fournies : discographie, bibliographie, filmographie, actes de naissance, de décès, partitions manuscrites, courriers… Disponible auprès d’Auvergne Diffusion. BP 169 …
Bruno Sabalat, que l’on connaît comme accordéoniste, clown, mime et marionnettiste, a aussi, dans les sentiers de sa vie, entretenu une véritable passion pour le voyage à cheval. Depuis toujours, l’envie tenace d’aller vers l’inconnu l’emmène à cheminer, à cheval, avec une roulotte ou sans, à la découverte des cultures, des habitants et d’autres nomades comme lui. Un livre de photographies intitulé « Les Passagers du Vent », récemment paru, résume l’histoire des spectacles itinérants qui sillonnent l’Allier sous sa houlette depuis sept ans. Zoom sur ce cowboy du Far West bourbonnais, pas tellement « lonesome ». « J’ai toujours fait ça. J’ai acheté mon …
(Ré)écoutez l’émission du Dimanche 15 décembre 2013
Invité Bruno Sabalat :
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Didier & Eric Champion et Sidi Graoui nous présentent le spectacle de danse 3,1,2…le labyrinthe des origines
Ils adoraient leurs enfants. L’aîné s’appelait Jean et la petite, Justine. La petite, car la dernière, mais elle n’avait rien de petit. Ni son physique, ni sa force morale. Ils les adoraient et pour pouvoir les admirer lorsqu’ils échappaient à leurs regards, ils leur imposaient de se faire photographier en pied au moins une fois par an. A cet effet, le curé du village se déplaçait avec son matériel quasi magique et opérait les deux clichés en faisant en sorte de varier le décor. Pour cette série, il avait quand même trouvé ce bout de mur du jardin où un …