Fest’Amaz [INACTIF]

Né d’une attirance commune pour le mélange des genres, Fest’Amaz vous propose de créer un pont entre les cultures celte et berbère. Depuis tous temps, ces deux peuples partagent une omniprésence de la musique, que ce soit dans la vie quotidienne, ou encore pour accompagner des évènements plus spécifiques. Comme l’ont fait avant eux des groupes tels que Mugar, Taïfa, Breizh Amazigh etc…, Stéphanie Prévot (flûtes), et Malik Adda (percussions), entourés d’autres complices, vous invitent, au travers d’un répertoire d’hier et d’aujourd’hui, alliant tantôt hommages, tantôt mélodies traditionnelles et populaires, à un voyage entraînant par delà l’atlantique et la méditerranée. …

ADDA Malik

Biographie artistique :  Percussionniste autodidacte, Malik se forme auprès de groupes issus d’horizons divers durant les premières années de sa pratique instrumentale. Dans le même temps, il a l’occasion d’accompagner des musiciens tels que Michel Petrucciani, Tony Bonfils, Daniel Huck, Lionel et Stéphane Belmondo, lors de diverses jam-sessions, ce qui le sensibilise grandement au jazz. Depuis 1995, il intègre différentes formations, (Zagayak, Ipso Facto, Canela y Coco…), et entame une carrière de musicien professionnel, en ressentant le besoin d’étudier les percussions digitales en tenant compte de leurs contextes traditionnels, tout en restant très attaché aux musiques actuelles et improvisées. Mêlant …

Samedi 21 mai 2016 ! Quelques photos !

On prend les mêmes et on recommence ! (Combrailles au diatonique 3)

L’image des musiques traditionnelles en France, et plus particulièrement en Auvergne, est composée de certains clichés qui ont la peau très dure. Par exemple, je cite : « Oui, mais la musique trad’ c’est pas très varié, c’est répétitif, quand même? ». Et bien c’est vrai (dans une certaine mesure) ! Mais cela mérite quelques explications… Frédéric Paris est venu déposé à l’AMTA, il y a quelques temps déjà, une bande magnétique contenant l’enregistrement d’une veillée à Servant dans les Combrailles, entre 1975 et 1980, où trois hommes jouent de l’accordéon diatonique : Germain Bideau, René Lesme et un inconnu. À l’oreille il n’est …